Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 08:58

 

   Comment se rendre à Venise ?

   Depuis décembre 2012, l’aéroport de Lille LESQUIN propose des vols Low cost à destination de Venise avec la compagnie Transavia. Pour neuf euros l’aller-retour, une navette depuis la gare Lille-Flandres, peut  vous déposer à l’aéroport de Lille-Lesquin ce qui vous exonéra des frais de parking assez onéreux. Les avions de la compagnie Transania sont des Boeings 737-800 récents. Notre voyage avec cette compagnie fût plus agréable que les trajets autrefois réalisés avec les irlandais de Ryanair. Ici, pas d’annonces excessives pour essayer de vous vendre tél ou tél produits en duty- free, tickets de loteries.. Et le must, c’est d’avoir payé nos billets à un prix dérisoire sans être pour autant exemptés de tout confort, avec à notre disposition des sièges confortables et suffisamment espacés entre chaque rangée pour que vous puissiez allonger vos jambes.

 

   Quand partir ?

   La deuxième quinzaine de février ( départ le dimanche, retour le jeudi ) les températures étaient encore fraiches le matin, surtout lorsque nous étions à bord d’un bateau, le soir aussi. En revanche, aux alentours de midi, le soleil était suffisamment présent pour que nous pûmes prendre une collation en terrasse en gardant prudemment nos blousons. Cette semaine là correspondait à celle qui suivait la fin du carnaval. C’est la raison pour laquelle les prix des hôtels sur booking.com affichaient des réductions de 40 voir 50%.  L’avantage de visiter Venise en morte saison outre un certain intérêt pécunier, c’est que vous pouvez déambuler librement dans les rues étroites sans obstacle, ce qui ne doit pas être chose aisée en juillet et en août lorsque les charters  arrivent avec régularités, bondés de visiteurs. A ce propos ne vous étonnez pas d’être de temps en temps bousculé par quelques locaux sans un mot sans une excuse, lassés de devoir toute l’année se frayer un chemin parmi le flot de touristes en se tortillant comme les saumons qui remontent la rivière à contrecourant pour frayer.

 

 

   Laisse les gondoles ( à quai ) à Venise. 

   Deux jours avant mon départ, bien que je n'avais encore jamais foulé le sol de Venise, j'étais déjà certain que je ne ferai pas un tour de gondole. 80 € les 40 minutes puis 40 € les vingt minutes supplémentaires, soit l'équivalent d'un peu plus d'une journée de travail pour monter dans une petite embarcation et en redescendre presque aussitôt ? Les vénitiens vouent un véritable culte pour les pigeons, ceux qui picorent allègrement du côté de la place ST-MARC, en ce qui me concerne, pas question de me faire plumer ! Préférez aux chères embarcations traditionneles le vaporetto, bateau de l'ACTV ( société des transports publics italiens ). Pour la somme de 7 € vous pourrez pendant une heure naviguer sur le grand canal réputé être la plus belle avenue au monde, un titre que se dispute la ville de Paris avec les champs Elysée.

 

   Où dormir ?

    L'hôtel Principe, situé dans le Cannaregio le long du grand canal est un hôtel 4 étoiles à quelques pas de la gare routière et de la gare ferroviaire Santa Lucia. Le personnel parle très bien français, des bagagistes sont à votre disposition lors de votre arrivée, la chambre est décorée dans le style vénitien et équipée d'un mini-bar. Le petit- déjeuner est de type continental avec thé, café, jus d'orange, croissants, yaourt, céréales, oeufs, bacon, fromage et est servi dans une salle avec vue sur le Canal Grande. On regrettera la chambre surchauffée ( impossible de descendre le thermostat en dessous des 22° ) nous dûmes donc dormir la fenêtre ouverte mais fort heureusement, ce n'est pas à Venise que nous fûmes dérangés par le bruit des voitures !

 

   Au restaurant.

   Ouvrez-vous l’appétit en commandant lors de l’apéro, un verre de spritz, un cocktail largement consommé dans la région, à base de Prosecco, un vin blanc sec italien puis, d’eau de Seltz ( eau gazeuse ) et enfin de Campari ou d’Apérol voir du Cynar selon l’amertume souhaitée.

   Ensuite, en entrée optez pour un plat de pâtes car en Italie, les pâtes se mangent en primo piatto et choisissez entre des spaghettis à l’encre de sèche ( spaghettis a la nera ), des linguines aux palourdes ( linguine alle Vongole ) où pour ceux et celles qui n’aiment pas le poisson d’autres recettes de pâtes peut-être un peu moins caractéristiques de la Vénétie ( à la bolognaise, à la carbonara… ).

   Si après cela vous n’êtes toujours pas rassasié, faites vous servir un secondo piatto. Parmi les spécialités,  les sardines à l’aigre doux ( en saor ) avec des oignons ou le foie à la vénitienne ( fegati  alla Veneziana ) avec une fondue d’oignons et quelques gouttes de vinaigre balsamique.  

   Zappez le dessert, vous risquerez de tomber sur un tiramisu surgelé. Un simple café, il conto et direction une bonne pasticceria pour faire quelques provisions de douceurs.

 

 

   Les ponts de Venise.

   Il est difficile de parler de la ville de Venise sans aborder ses Ponts. Il est encore plus difficile de tous les énumèrer puisque l’on en dénombre pas moins de 435 sur toutes les îles de la lagune. Citons parmi les plus célèbres :

 

                _ Le Pont de la constitution, qui relie le Cannareggio à la Piazzale Roma. Pont de grande envergure, d’une architecture épurée et moderne qui fût l’objet de polèmiques lors de sa construction par rapport à son disign et son coût prohibitif. Le Pont de la constitution sera probablement le premier que vous enjamberez à la sortie du bus venu vous ceuillir à l’aéroport.

 

                _ Le Pont de soupirs,  qui contrairement aux idées reçues, ne fait pas référence aux amoureux transis. Les soupirs étaient ici exprimès par les prisonniers qui empruntaient ce passage surelevé entre la prison et le Palais des Dôges où avait lieux les audiences.

 

   La possibilité d’une ( autre ) île.

   18 €, c’est le prix unitaire d’un ticket de Vaporetto valable douze heures. Une demi journée, c’est assez de temps pour quitter Venise et découvrir d’autres îles de la Lagune.

 

   Murano :

 

   Ce qui fait la renommée de Murano, se sont ses souffleries de verre et leurs créations réputées dans le monde entier. Certaines pièces vendues dans les boutiques à touristes de Venise seraient du « Made in China » mais lorsque l’on lèche les vitrines des boutiques de l’île de Murano, devant la beauté des œuvres, la finesse des détails, la splendeur des couleurs utilisées, tous les doutes sur la qualité des productions s’envolent. Autrefois les souffleries de verre se situaient à Venise même mais elles provoquèrent quelques grands incendies qui à l’époque, avec les maisons en bois se propageaient rapidement. Pour que l’activité du soufflage de verre ne représenta plus une menace pour les vénitiens, toute l’activité fût déplacée sur l’île de Murano, devenue en quelques sortes la capitale du verre « Made in Italia ».

 

   Burano :

 

   Merveilleux petit village que celui de l’île de Burano. L’artisanat local n’est pas ici le verre comme chez sa voisine Murano mais la dentelle. Ici aussi le savoir faire local est parfois copié en Asie pour être revendu dans quelques boutiques attrape-nilgauts de la Vénétie. Sachez que la moindre petite broderie en dentelle de la taille d’un napperon peut prendre plusieurs années à fabriquer. Méfiez-vous donc des dentelles vendues à des prix trop abordables. L’autre raison pour laquelle une escale à Burano s’impose, ce sont ses petites maisons peintes de toutes les couleurs, dans des tons vifs, rafraichis chaque année et qui permettaient autrefois aux pêcheurs  de retrouver leur maison depuis le large.

 

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 22:30

                Luminothérapie, acupuncture, Zyban, cigarettes électroniques… nombreux sont les moyens proposés pour arrêter la clope. Alors me direz-vous : Pourquoi  avoir choisi de consulter un hypno thérapeute ?

 

                D’abord, je pouvais d’ores et déjà abandonner la solution des patchs nicotiniques déjà testés par le passé et qui ont conduit à un échec. Ce qui se passait, lorsque le désir de tirer une bouffée se faisait trop pressant, je retirai le patch aussitôt pour m’en griller une. Ça, c’était dans le meilleur des cas. Parfois, je fumai carrément avec le diffuseur de la substance addictive collé sur le bras. Ce type de comportement est vivement déconseillé, même si un surplus de nicotine dans l’organisme n’est pas si dangereux qu’on le prétend.       

                 Ensuite, l’hypnose m’interpellait quelque part dans mon inconscient ( quoi de plus normal me ferez-vous remarquer ), dans mon imaginaire. J’étais curieux de devenir un cobaye, de percevoir ce que l’on pouvait ressentir dans un état hypnotique. Le rendez-vous était donc pris. Dans mon cas, une seule séance a suffi car comme me l’a dit le praticien au téléphone, «  Les fumeurs ne doivent pas être considérés comme des vaches à lait. Si le fumeur est vraiment motiver pour se sevrer, alors une, voir deux séances suffiront amplement pour un arrêt total et définitif. »

 

                   

                 La consultation se découpe en deux phases : l’une qui consiste en un entretien individuel, dans lequel le patient découvre ce qu’est vraiment l’hypnose thérapeutique : « Très peu de personnes rentrent en transe profonde comme on peut le voir à la télé. Dans ces émissions, les volontaires sont minutieusement choisis et triés sur le volet. L’efficacité d’une séance d’hypnose ne dépend en aucun cas de l’intensité de votre léthargie. » Moi qui craignait de me faire endormir par un inconnu qui pourrait très bien être un pédéraste pervers et me réveiller avec le fion en chou-fleur, me voilà rassuré. " Vous savez, vous rentrez quotidiennement en état d’hypnose sans vous en rendre compte. Je m’explique : Quand vous regardez votre série fétiche à la télé puis, soudain vous perdez le fil et vous vous mettez à penser à votre liste de course pour le lendemain… Là, vous êtes en état d’hypnose ! Un autre exemple : Vous êtes étudiant et vous révisez pour vos examens. Après quelques heures, vous refermez brutalement les pages de votre livre d’histoire des rois de France en vous disant que vous n’en pouvez plus. Et bien là aussi, c’est votre inconscient qui vous demande de stopper donc, vous êtes à ce moment précis en état d’hypnose." Ensuite il vous est demandé quelles sont les motivations qui vous poussent a arrêter de crapoter. Pour des raisons financières, de santé ou pour faire plaisir à votre entourage… peu importe le contenu de vos réponses qui seront quoiqu’il en soit, bateau. Ce qui intéresse votre interlocuteur en blouse blanche, c’est votre personnalité et le vocabulaire que vous employez afin d’adapter son discours en fonction de votre personne pendant que vous fermerez les yeux. J’évoque ce qui m’a amené jusqu’ici en quelques points : «  J’aime pratiquer des activités sportives et je sens depuis quelques temps que j’ai le souffle court. Et puis il y a l’aspect financier. Même si à mon travail les augmentations de la nouvelle année n’ont pas encore été attribuées, j’ai calculé que je pouvais économiser environ 190 € par mois, rien qu’en arrêtant d’acheter quotidiennement ma dose de drogue dure. Autre point, le matin quand je me lève, j'ai une haleine telle que j'ai l'impression d'avoir bouffé un rat mort la veille au soir. » L’entretien terminé, je lève mes fesses d’une chaise droite en bois dur pour un confortable fauteuil inclinable en cuir noir.  

 

                   

                  «  Allongez-vous est mettez-vous à l’aise. Voilà. Maintenant fermez les yeuxe. Chose que je n’avais pas remarqué au cours de l’entretien qui précédait, notre homme en blouse blanche prononce exagérément quelques syllabes à la fin des mots, même lorsque ces dernières sont muettes. J’ai l’impression que c’est Yves LECOCQ imitant Jacques CHIRAC qui s’adresse à moi. C’est bien. Respirez profondément. A chaqueue respiration, vous sentez tous vos muscles, tous vos membres se détendre toujours un peu plus. Concentrez-vous sur vos épaulleuhs, puis vos bras, vos genouxes. Je me sens imperméable aux paroles du serpent Kaa. Ais confiansssssssss… Pire encore, j’ai envi de rire.J’essaie tant bien que mal de jouer le jeu car après tout, si je suis venu ici, c’est que j’y crois, que j’ai espoir. Le débit est lent et le ton se veut rassurant. Maintenanteuh, visualisez-vous à chaque moment lorsque vous allumez une cigarette : Avec le café le matin, pendant la pause au travail… Ensuite,  imaginez que vous descendez une cage d’escalier. A chaque marche que vous dévalez, vous vous détachez de ces instants. Symboliquementeuh, vous jetez vos cigarettes par-dessus l’épaule et vous vous sentez plus léger à mesure que vous descendez.Arrivé en bas de l’escalier, se dresse devant vous la porte d’un ascenseur. Vous décidez de l’emprunter. Vous appuyez sur le bouton qui vous mène au premier étageuh. La porte s’ouvre et vous vous apercevez que tout le premier niveau est enveloppé d’un épais brouillard de tabaque. Vous refermez les portes de l’ascenseur et décidez de monter au second. Au deuxième, il n’y a pas de fumée. L’air est pur et vous respirez à plein poumon. Vous pourriez jouer au footeuh ou au basketeuh dans cette air des heures durant sans jamais être essoufflé.  Le bourrage de crâne ou plutôt dans des termes plus appropriés, la déprogrammation mentale dure ainsi une cinquantaine de minutes. Pendant ce laps de temps, je n’étais pas endormi, je sentais la possibilité de pouvoir répondre, d’ouvrir les yeux mais le pouvais-je vraiment ? Un instant, je sentis même mon bras s’engourdir. « Allez-y. Vous pouvez le remuer, c’est le signe que vous êtes détendu. » Puis, vint le moment du réveil :Nous allons compter jusque dix et à dix, vous pourrez ouvrir les yeux. 1,2,3, vous émergez lentementeuh… 10 ! Mes yeux s’ouvrent avec difficulté, ma tête et quelques peu étourdie. Je me redresse, « allez-y doucement » et m’aperçois que je m’étais enfoncé dans une sorte de cataplexie, plus profondément que je le pensais. Je fais part de mon ressenti à mon mentor en terme de tabacologie et celui-ci m’explique que je suis «tout en maîtrise, pour parler vulgairement, vous avez du mal à laisser pisser. Il vous reste des cigarettes ? Alors quand vous le déciderez, vous n’êtes pas obligé de le faire aujourd’hui, choisissez un endroit avec une forte symbolique et jetez-les.Puis, ensuite, vous m'envoyez un message, un simple sms pour me dire que c'est fait. Ça peut être dans un lac, enterré dans un parc, que sais-je ? Une fois, j'ai un patient qui m'a laissé des nouvelles trois mois plus tard pour me dire qu'il l'avait balancé du Pont de l'Alma à Paris »

               

                  

                Je n’ai jamais suivi cette dernière consigne qui ne semblait pas primordiale puisque malgré ma désobéissance, je n’ai pas fumé une seule cigarette depuis voilà 11 jours. Les quelques clopes qui me restaient, je m’étais dépêché de les consommer à la sortie de la consultation. Imaginez la scène, croisant un patient à la sortie du cabinet en train d’allumer une cigarette sur le palier alors qu'il vient justement pour soigner sa propre dépendance ! Depuis, je tiens bon. La première semaine, assez rapidement l’odeur m’incommodait et le dégoût à l’idée de prendre quelques tafs s’installait. En ce moment, ça me parait un peu plus difficile. Peut-être devrai-je tenter une séance d’hypnose sur Youtubes ou apprendre l'auto hypnose. Toujours est-il que sans substitut hormis les chocolats, bonbons et cafés/calva le week end, le résultat est plus que convainquant.

 

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:04

 

MAXOU PAS A PAS

M. MACHELART et Mlle BROUSMICHE

LES FLOCHES

42580 L’ETROT

                                                                             LILLE, le 12 Novembre 2012.

 

   Chers parents, cher Maxime bonjour,

 

 En regardant l’article paru dans l’union du 03 Novembre 2012 et connaissant Pascal comme un ancien coéquipier respectivement du « Thiérache Football Club » et de l’ « AS Ohis », je ne pouvais rester insensible face à ce poignant appel à l’aide.

   Certes, l’article à fait réagir, puisque pas moins de 52 commentaires ont été rédigés par des lecteurs selon les sources du canard, bien que je regrette le contenu. Malgré quelques avis intéressants, le reste n’est que verbiage, crêpages de chignon entre anonymes de la toile alors que nous aurions tous préférés que soit actées de vraies promesses de dons.

   Ceci dit, ma motivation à vous aider renforcée par ces baragouinages, je me permets de joindre à ce courrier un chèque de trente euros à l’ordre de votre association « Maxou pas à pas ». D’après ce que j’ai pu comprendre, l’argent peut permettre soit de devenir adhérent de l’association, soit d’être utilisé comme un don. Je ne sais pas quelle différence ça fait. Peu importe, vous en ferez bon usage.

J’aurai bien voulu donner plus mais comme vous le savez, chacun fait en fonction de ses moyens.

Notons l’excellente initiative du judo club hirsonnais autrefois présidé par M. Daniel LIENARD ( est-ce toujours le cas ? ) lorsque je foulai les tatamis, qui à l’occasion d’un tournoi entre ceintures noires ont organisé une vente de gâteaux dont les profits reviendront à votre association.

   Je regrette qu’un pays comme la France ne puisse offrir les soins nécessaires à Maxime et que vous ayez à vous tourner vers l’Espagne, un pays que les médias associent au quart- monde depuis que la crise est passée par là.

  Voilà, il ne me reste plus qu’à espérer que votre association se fasse connaître du plus grand nombre de gens possible, je tâcherai de mon côté d’en faire la promotion. Souhaitons au supporter stéphanois qu’est Maxime, que les verts se qualifierons à l’issu de la saison pour la ligue des champions. Une éventualité pas tant farfelue que ça avec un Aubameyang en pleine bourre ! D’ailleurs, je me demande au moment où je m’apprête à conclure cette lettre, si vous avez déjà envisagé d’associer l’A.S.S.E à votre combat ?

 

   Bien amicalement,

 

   Bérenger PATOUX

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 19:57

ORANGE INFO : UNE SONNERIE OFFERTE POUR LE 06.**.**.**.** 

POUR LA RECUPERER, CLIQUEZ VITE SOUS LE LIEN CI-DESSOUS :

http // : orange …….

 

    Depuis que je me suis inscrit aux offres commerciales de mon opérateur téléphonique, je reçois régulièrement ce type de SMS, parfois même au beau milieu de la nuit. Souvent, les offres s’enchainent et mon mobile sonne toutes les cinq minutes comme lorsque vous franchissez la frontière pour l’étranger et que le système bug. Une sonnerie offerte ? Peut-être le dernier tube des Chemicals Brothers, d’Archive, de C2C ? Une mélodie qui paraîtra moins ringarde que les quelques notes préenregistrées dans mon Samsung et que j’utilise actuellement.Je clique sur le lien, télécharge la sonnerie, et me déconnecte. Je farfouille dans le fichier « tonalité /sonnerie » , active la piste de lecture en approchant l’oreille du portable, patiente une fraction de seconde : Grouik, grouik ! Qu’entends-je ? Le grognement d’un cochon ? C’est loin de ce que j’espérai ! Cependant, cela paraîtra amusant pour les gosses, neveux et nièces ou même pour les collègues de bureau lorsque le calme ambiant, la douce musique du clapotis des claviers sera interrompu par un cri sorti tout droit d’une porcherie. Sur cette réflexion, je paramètre donc ma nouvelle sonnerie en augmentant le volume au maximum attendant que quelqu’un m’appel et l’effet de surprise que ça générera.

    17 heures ma journée de travail se termine sans avoir reçu un seul coup de fil. Mon frigo étant vide, je passe par le magasin Ed avant de rentrer chez moi. Je pose les quelques denrées alimentaires sur le tapis de la caisse que tient une beurette, attendant mon tour en retenant ma respiration parce que juste devant moi, se tient un puant venu ici acheter une douzaine de cannettes en ferraille de bières fort alcoolisées. Vient mon tour. Je présente ma carte de fidélité à la femme typée, yeux noirs, cheveux noirs, teint halé et une main de fatma autour du cou. L’employée de supermarché scanne les articles un à un, coquillettes, jambon, gruyère, tous les ingrédients pour un parfait menu étudiant. Tout d’un coup, au moment de payer, un énorme « Grouik, grouik » retenti et fait écho dans presque tout le magasin. La jeune femme, fille ou petite-fille d’immigrés le prend pour argent comptant et me regarde l’œil mauvais, comme si j’étais un membre actif du CNUD de l’école de La Catho, un partisan de l’opposition de la mairie d’HENIN BEAUMONT ou pire encore, Jean-François COPPE racontant à un gosse l’histoire du «pain au chocolat ».

    Moralité : L’humour n’est pas universel. Une blague cochonne peut faire rire certains comme des baleines alors que d’autres trouveront ça tout simplement férocement vache !

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 18:16

            Deux fois l’an, la même question revient sur le tapis avec une régularité exaspérante. Au printemps et à l'hiver, elle alimente les conversations au bureau autour de la machine à café, lors de la pause déjeuner à la table d’une brasserie, ou encore chez le boulanger lorsque vous faites la queue pour acheter votre baguette de pain. Quelle soit ouverte ou fermée, elle délie les langues de ceux qui n’ont rien de mieux à faire que raconter des niaiseries. Je me souviens un professeur de lycée qui répondait par l’absurde aux questions des élèves qui l’étaient tout autant. « Question idiote, réponse idiote », s’amusait-il à dire. Alors la question, posons-nous la puisqu’elle brûle toutes les lèvres : suite au passage à l’heure d’hiver, allons-nous dormir une heure de plus ou une heure de moins ? En d’autres termes : on avance ou on recule ? Comment voulez-vous, comment voulez-vous… ?

        Instaurée en 1975 sous nos latitudes, le changement d’heure avait pour but de réaliser des économies d’énergie, qui paraissaient essentielles au lendemain du choc pétrolier de 1973. Ainsi, lors du passage à l’heure d’été, nous avançons notre montre de soixante minutes tandis qu’à l’heure d’hiver, nous revenons à l’heure initiale, telle qu’elle fût avant le passage à l’heure d’été.

         La rumeur, grouillante et galopante comme un fléau voudrait que l’on dorme une heure de plus en hiver lorsque les aiguilles de nos montres ont rétropédalée de soixante minutes. Fin mars, le passage à l’heure d’été est moins heureux car dit-on, nous perdons une heure de précieux sommeil.

Ce que l’on oublie de dire, c’est que les bascules se font toujours un samedi soir entre minuit et deux heures à la veille d’un jour chômé. En général, nous ne nous couchons pas à des heures régulières les samedis soirs., les noceurs le savent bien. De même, le dimanche, nous ne nous réveillons pas au son strident du réveil matin. Nous n’ouvrons l’œil qu’une fois notre quota de sommeil atteint, à moins d’être réveillé par le chant du coq qui se moque éperdument du positionnement des aiguilles sur l'horloge ou par vos neuveux et nièces sautant à pieds joints sur votre lit.

L’équation est pourtant simple : si au lieu de vous coucher à minuit pour vous réveiller à huit heures, vous vous couchez à onze heures pour vous lever à sept, dans les deux cas ça fait et fera toujours huit heures de repos. Est-il utile de préciser que l’exemple fonctionne aussi dans l’autre sens ?

Quoiqu'il en soit, été comme hiver, le quart d'heure thièrachien sera toujours le quart d'heure thièrachien. Si vous souhaitez qu'un événement débute à vingt heure, il faudra toujours indiquer que celui-ci commence à dix neuf heures quarante cinq.

         Maintenant, c’est décidé, la prochaine fois que l’on me casse les oreilles avec cette question, je file derechef m’installer sous les tropiques, où le changement d’heure n’existe pas, le soleil étant  présent douze heures par jour quelque soit la saison.

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 16:36

  LA MAISON TOMBEE DU CIEL.

 

               Une maison tombée du ciel, cela fait penser au célèbre roman pour enfant : " Le Magicien d'Oz " de  L. Frank Baum . L'histoire de ce bouquin pour jeune publique raconte les aventures de Dorothée, une petite fille du Kansas,  dont la maison est emportée par une tornade dans le monde féerique d'Oz, tuant dans sa chute, la sorcière de l'Est.

                Une demeure avec le toit planté dans la terre me fait poser cette question : " A l'intérieur, les mouches marchent-elles à l'endroit en piétinant le plafond ? Ou progressent-elles la tête en bas, en posant ses pattes sur le sol carrelé ? "

                D'autres interrogations que suscite cette baraque à l'envers me viennent aussi à l'esprit : " Lorsque l'on a envie d'aller aux toilettes, comment fait-on pour soulager un besoin naturel sans se pisser dessus ? A la chandeleur,  où finissent les crêpes propulsées de la poêle avec trop de force ? Lors d'un bon décrassage, ne risque t'on pas de se noyer dans sa cabine de douche ? Le Père Noël, devra t-il creuser un sous-terrain pour entrer par la cheminée ? Ses rennes, seront-ils remplacés par des taupes ? Est-il vraiment nécessaire de faire le poirier pour pouvoir regarder la télévision ? Lorsque qu'un occupant tombe dans l'escalier, est-ce qu'il les monte ou les dévale ? Dans le grenier, les chauves-souris continuent-elles de dormir la tête en bas ? " Une histoire renversante à dormir debout me répondraient-elles si elles avaient la parole !

                La vocation première d'une œuvre d'art et de faire en sorte, que le public s'interroge, se questionne. Avec La Maison Tombée du Ciel, l'artiste Jean-François FOURTOU a parfaitement rempli sa mission.

 

La maison tombée du ciel.
LE DINER DE GULLIVER.

 

                            Une table de salon de jardin sous laquelle on peut s’abriter debout, des chaises en plastique qu’il faut escalader pour tenir à trois dessus, cette œuvre aux proportions démesurées me fis plonger tout droit dans les pages psychédéliques du comte de Lewis Carroll « Alice Au Pays des Merveilles », lorsque la petite fille poursuit le lapin blanc, tél Néo dans « Matrix », et chute au fond de son terrier avant d’arriver dans une pièce où tout est redimensionné à très grande échelle.

                         En réalité, l’artiste ne fait ici pas référence à Alice mais à un autre personnage de roman ou le nanisme est affiché en gros caractères : « Le Voyage de Gulliver » de Jonathan Swift. Face au mobilier d’extérieur disproportionné, le spectateur n’entre pas dans la cour d’un géant, pourtant nombreux à défiler dans les carnavals du Nord de la France, mais rapetisse tél un lilliputien en visite dans la capitale des Flandres.

On regrette lors de notre passage, ne pas avoir vu la table dressée de verre d’eau dans lequel l’on pourrait se noyer, de couteaux ayant la taille d’une scie, de fourchettes grandes comme des fourches à quatre dents, et d’assiettes pouvant contenir une côte à l’os de dinosaure.

                        Tandis que Lilian Bourgeat s’amuse à agrandir quelques objet du quotidien, chez Flunch, on réduit la taille des assiettes obligeant les appétits gargantuesques à reprendre plusieurs fois leurs élans affamés jusqu’au buffet. Sous la fenêtre de mon bureau, une personne de petite taille ou verticalement différente ( pour ne pas dire une naine, une razmoquette, razbitume ), déverrouille un antivol à l’aide d’un passe-partout et fauche le tricycle rose fluo d’une gamine sur lequel est attaché au guidon un petit panier qui a la contenance d’une boîte d’allumette.   

Le dîner de Gulliver. 

  LA CHAMBRE MONSTROUILLE.


                        Dans « La Chambre Monstrouille » il fait peut-être noir, mais il n'y a rien d' anormal à voir l’obscurité qui domine dans un lieu où l’on est sensé dormir. En dehors de cela, kénonauphobiques à part, il n’y a aucune raison de craindre les sympathiques créatures sorties de l’imaginaire de Rémy PAGART. Je me suis rendu moi-même à l’exposition accompagné de ma petite amie qui pourtant ne peut toujours pas s’endormir sans son doudou,  et à moins qu’elle ait contenu ses émotions en serrant les poings et les dents, n’a marqué aucun signe de terreur devant les bêbêtes immobiles, tapies au deuxième étage du Colysée de LAMBERSART. J’en ai déjà vu des monstres. Pas véritablement, des vampires cachés entre les page d’un roman de Bram STOKER, les zombies cathodiques de Georges Andrew ROMERO mais jamais de pareils. Quoique velues, colorées et drôles, certaines ressemblent un peu  à Jacques SULLI de MONSTRES ET CIE ,voir à quelques marionnettes du Muppets show. Vous l’avez compris, l’exposition Les Monstrouilles est ouverte à tout public, sans restriction d’âge ni carré blanc.

Un air de maître Yoda. 


Partager cet article
Repost0
14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 16:27

Elle a réussi à se faire une place la grosse putain, sur le trottoir d'une avenue très fréquentée.

 

Elle attend le client dans sa caravane la grosse putain, et s'active des que celui-ci lui présente un billet.

 

Elle travaille sans relâche la journée comme le soir la grosse putain, s'octroyant parfois, comme le dimanche midi, un peu de repos bien mérité.

 

La concurrence est rude pour la grosse putain, elles ne sont pas moins de trois dans le quartier.

 

La grosse putain n'est ni plus chère, ni moins chère que les autres, ses prix, sont ceux de coutumes pratiqués.

 

Nous ne lui en voulons aucunement à la grosse putain, si parfois elle daigne nous rendre la monnaie.

 

Parce que, ce qu'elle aime avant tout la grosse putain, c'est jouer avec la sauce et bien l'étaler.

 

On dit qu'il faut avoir " faim " pour rendre visite à la grosse putain mais ce qui est sur, c'est que vous serez rassasiés.

 

 Variez les gourmandises avec la grosse putain, testez toutes ses spécialités et percez ses mystérieux secrets.


Il ne faut pas avoir peur de la graisse avec la grosse putain, mais l'essentiel c'est qu'elle soit bien huilée.

 

Moi, c'est souvent en coup de vent que je vais voir la grosse putain, les soirs le weekend avant le match à la télé.

 

Lorsqu'elle me voit timidement approcher, la grosse putain se met à se dandiner.

 

La grosse putain me demande alors : " Qu'est-ce qui te ferait plaisir blondinet ? "

 

Je regarde alors la marchandise, me demandant ce qui pourrait faire passer mon envie pressée.

 

Et c'est alors que je passe commande : " Un américain mexicano, sauce samouraï avec une bière, sans oublier de dire : s'il vous plaît  "

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 22:23

      Ayant maintes et maintes fois entendu parler d'Etretat et de ses vertigineuses falaises, il fallait donc que je saisisse l'occasion, profitant d'un séjour en Normandie pour aller fouler les mythiques blocs de calcaire.

               

    Avant d'arriver sur le site, il est conseillé de laisser son véhicule sur l'un des parking situé aux entrées de la ville normande. La circulation dans le centre est souvent difficile, car il arrive parfois que tout le monde ai la même idée, d'aller au même endroit, au même moment...

               

    Promenez-vous sur les sentiers en direction du phare dans une nature reculée et sauvage. A votre droite, vous distinguerez quelques golfeurs qui cherchent à se concentrer dans un calme olympien tandis que les surfeurs, en contrebas sur votre gauche, attendent une vague fracassante, allongés sur leur planche, dans une mer agitée et sous l'œil des oiseaux marins qui nichent à flanc de roche, là où l'homme ne peux y accéder.

               

    La nature, respectez-là, car la police montée veille. Mégots de cigarettes, papiers gras et bouteilles en plastique doivent être ramassés et ramenés jusqu'au village où vous trouverez sans aucun mal une poubelle. Evitez également de marcher en dehors des chemins balisés pour ne pas piétiner les arbrisseaux et autres plantes qui poussent frêlement. Ainsi, vous éviterez certainement d'être mordu par une vipère qui paraît t-il pullulent dans les hautes herbes.

               

    Ces quelques précautions d'usage ne vous empêcheront en aucun cas de prendre de splendides photos qu'offrent le panorama et si l'envie vous prends, pourquoi ne pas venir les partager avec nous sur Qype.fr.Promenade sur les falaises d'Etretat.

Partager cet article
Repost0
21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 16:35

   Grâce à la volonté des pouvoirs publics et d'anciens mineurs, ce site minier du XXème siècle a été exceptionnellement bien conservé depuis sa fermeture au début des années 70, après quatre décennies d'exploitation.


   La visite guidée dure une heure dans laquelle, un casque sur la tête vous découvrirez l'univers des " gueules noires " à travers trois siècles où la mécanisation prend, au fil du temps, de plus en plus de place pour extraire le charbon dans les étroits couloirs souterrains. Des machines qui doivent améliorer la productivité des hommes de l'ombre, mais qui n'efface pas la dangerosité et la penibilité du travail ( Grisou, bruits, silicose, effondrement des galeries... ).


   Avant de descendre dans l'une des deux fosse à 450 mètres de profondeur, en empruntant l'ascenseur soutenu par un chevalan, vous passerez par les vestiaires et la salle de douche puis vous visiterez également la salle de triages où s'agitent en cadence femmes et galibôts, de jeunes apprentis mineurs qui de nos jours, ne seraient pas en âge légal de travailler. Un univers et une époque dure et laborieuse, parfois dangereuse mais qui laisse un bon nombre de nostalgiques parmi ceux qui descendaient autrefois quotidiennement dans les entrailles de la terre. ET vous ? Oserez-vous franchir le pas ?


   Les émotions ça creuse. Pour s'en remettre, une fois revenu à la surface, à la lumière du jour qui vous aveugle, pourquoi ne pas aller taper un petit gueuleton dans le restaurant du complexe, installé dans l'ancienne scirie ? Piochez dans votre assiette potjevelsch, carbonnade flamande, frites, maroilles, chicons braisés et bien d'autres spécialités chti mentionnées au menu. Les groupes peuvent aussi réserver la salle Pierre Bachelet où après quelques bières locales vous chanterez avec coeur comme le fond les supporters Lensois avant le coup d'envoi :


 " Au nord c'était les corons
La terre c'était le charbon
Le ciel c'était l'horizon
Les hommes de mineurs de fond " !

 

Mineurs en visite. 

Partager cet article
Repost0
6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 11:05

   Puisque nous voulions voir Honfleur, nous avons pris la route pour voir Honfleur. Nous flânons devant son port pittoresque, ses galeries de peintres, nous achetons une bonne bouteille de calavados dans une des cave bondée de touristes anglais, japonais ou russes, qui tendent en l'air, des parapluies communautaires fermés pour se repérer.

    Comme le soleil montre enfin le bout de son nez en ce jour de la fête du travail, nous ne pouvons faire autrement à l'heure du midi, que de chercher un restaurant avec une terrasse qui fait face au vieux bassin où séjournent paisiblement quelques somptueux voiliers. La cabane du pêcheur, un restaurant construit en dur, et le seul à avoir une table de cinq libre. Jours fériés comme en semaine, été comme hiver, Honfleur ne dort jamais. Le menu à dix-sept euros quatre vingt dix fait l'unanimité dans le petit groupe que nous formons. Nous choisissons tous, à une exception près, la formule " entrée + plat ". Le serveur prend les commandes : trois assiettes de bulots et  une salade pour débuter, le tout accompagné d'un petit muscadet frais. Les assiettes de gastéropodes sont bien garnies, fraîches et délicieuses. Avec mon outil, un pic munit de deux dents je sors un à un les mollusques de leur coquille en spirale quand tout d'un coup, surprise ! A la place d'un gros buccin, c'est un petit crustacé de couleur rouge qui se présente dans mon assiette. Quel est donc cet intrus ? Même s'il ne se présente pas, je devine son prénom. Il s'agit de Bernard, celui qui non content de squatter la coquille des autres, loge désormais dans mon assiette. Lorsque le serveur passe récupérer nos assiettes afin de passer au plat suivant, je lui indique que nous avons un invité inattendu.

   " _ Un Bernard l'hermite !, fait-il. Alors selon la tradition, la table est offerte, j'm'en vais demander au patron."

     Nous ne reverons plus le garçon. C'est ça collègue qui nous apportera les cassolètes de moules trop cuites et l'addition, nous la paierons. Mais l'essentiel n'est pas là, nous avons vécu un bon moment et n'avons pas vu le temps passer, à un point tél que je me suis pas apperçu que j'étais en train d'attraper un coup de soleil sur mes bras qui étaient encore blancs comme des cachets d'aspirines. Ce fût le prix à payer pour les premiers rayons de l'année qui eux, ne chômaient pas.    

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Les carnets de Bér.
  • : Cela pourra peute être vous paraitre un peu brouillon mais vous trouverez un peu de tout sur mon blog : des impressions de voyages, chroniques de concert, missives contre des organismes incompétants, à vous de voir ce qui vous interpelle le plus
  • Contact

Texte Libre

Recherche

Liens